Je discerne le premier prix de la bassesse au journaliste auteur de cet article.
Je vous résume les faits:
En citant les différents présidents qui se sont succédés à la tête du plus ancien des clubs tunisiens, le journal le Temps a "omis" de citer Aziz Zouhir en lui faisant quand-même signe par l'expression méprisante: "Un intermède de deux ans et demi entre Chiboub et Meddeb".
Je suis scandalisé, outré et je dénonce cette presse boudourou qui est indigne de cette profession. Le pire dans l'histoire, c'est qu'avec Aziz Zouhir l'espérance avait remporté un doublé chose qu'elle n'était pas arrivée à accomplir depuis de longues années...
Je suis solidaire avec Aziz Zouhir.
Pauvre tunisie et pauvre jounalisme !
4 commentaires:
c'est comme en Russie à la période post-stalinienne , on a effacé sur toutes le photos les personnalités politiques qui dérangeaient...et à une certaine époque chez nous aussi ...
@ Startup & BTB
Je pense sincèrement que des gens pareils ne méritent pas d'avoir la liberté de s'exprimer...
@ Anonyme 17
C'est vrai en Russie maintenant tu ne trouveras même pas du rue de Lénine (Remarque en Tunisie, la rue de lénine existe encore...)
Mais dans ce cas précis, il n'y aucune raison pour qu'on l'ignore de cette manière mis à part biensûr qu'un de ses prédécesseurs qui est un peu plus influent que lui ne le porte pas dans son coeur...
@ Startup & BTB
je parle du journaliste biensûr..
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